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Carillons de France

Carillons de France
25 juin 2013

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1 juin 2013

Carillon ambulant de Douai (Nord)

Carillon Ambulant de Douai Région Nord-Pas de Calais

53 cloches – 4.045 kg

clavier manuel

Il existe moins de quinze carillons ambulants dans le monde entier…

 

 

cad_vertLe 7 novembre 1981, le premier carillon ambulant français est inauguré dans le cadre du festival de Lille, il est alors le plus grand carillon ambulant du monde. Composé de 48 cloches (2.860kg) il a été construit par la fonderie PACCARD d’Annecy-le-Vieux. La création de ce carillon revient à Jacques LANNOY, Maître-carillonneur de Douai. L’entreprise est un succès et le carillon est agrandi par la fonderie savoyarde en 1989 par l’adjonction d’une cloche de volée. Le poids de ses cloches passe alors à 3.460 kg. Ce carillon géré de façon professionnelle par l’ASSECARM (association de Lille qui deviendra DOMAINE MUSIQUES) est confié en 1996 à l’ARPAC, nouvelle association au siège douaisien, mais dont les bureaux sont installés à Orchies. Ce premier carillon donnera à travers toute la France et en Europe 2.432 concert entre le 7 novembre 1981 et le 4 juillet 2004. Malheureusement, sa structure (beffroi), reconstruite en 1997 à la suite d’un accident chez un garagiste, ne résiste pas aux voyages et se fissure dangereusement. L’ARPAC doit envisager dès l’an 2000 une restauration lourde, pour laquelle elle lance une consultation auprès de cinq fondeurs français et européens. L’option d’une reconstruction complète est privilégiée au vu des offres reçues.

 

cad_bleuC'est l’entreprise néerlandaise PETIT & FRITSEN qui est choisie pour fabriquer le nouveau carillon de 53 cloches (4.045 kg) dont 3 installées pour la volée. Inauguré le 4 juillet 2004 à Douai, ce carillon poursuit la plus belle aventure musicale du monde campanaire, qui affiche un palmarès inégalé à ce jour. Le nouveau carillon ambulant de Douai Région Nord-Pas de Calais a été créé grâce à l’aide de souscripteurs privés, des Ets Bodet, de la région Nord-Pas de Calais et de la Ville de Douai. L’agenda des concerts du carillon ambulant de douai est mis à jour en permanence sur www.arpacinfo.canalblog.com 

 

 

 

Les cloches de l’ancien carillon ont été vendues à la ville de Dordrecht (Pays-Bas) où elles attendent d’être installées dans le campanile de l’hôtel de ville.

 

Carillon douai _WEB

 

 

 

 

 

 

 

 

 

15 janvier 2012

Courzieu (Rhône)

courzieuEglise Saint Didier
7 cloches

carillon manuel

Carillon composé de 7 cloches fondues en 1903 par Burdin (Lyon). Il est complété d'une cloche de volée de 1 tonne, 1 tonne et demie, datant de 1730.
Le carillon est doté d'un clavier manuel mzid peut être également actionné à distance par un dispositif électrique malheureusement dans un état médicocre. Muet pendant 15 ans, il est de nouveau joué très régulièrement (au moins une fois par mois) également le dimanche.

10 septembre 2011

Saint-Romain de Colbosc (Seine-Maritime)

 

49 cloches
carillon manuel
(carillon privé)

Carillon chromatique (Do4/ Do8), cloches Cornille-Havard de Villedieu-les-Poêlesjusqu'au Do 7, Petit et Fritsen Do#7 à Do 8, clavier "à coup de poing"/pédalier mécanique traditionnel. 9 cloches peuvent également sonner en volée manuelle en rétro lancer (Do#4, Mib4, Fa4, Fa#4, Sol#4, Sib4, Si4, Do#5,  Mib5) .

Carillon russe, 21 cloches (carillon privé)

Les carillons russes sont constitués de cloches tintées, non accordées entre elles (on n'accorde pas la cloche neuve), et se jouent plus rythmiquement que musicalement. Différentes sonneries existent selon la vie liturgique orthodoxe.

Les cloches sont réparties en 3 registres: les plus petites (en général 3 ou 4 - zazvonny) sonnées plus ou moins ensemble à la main droite, les moyennes (podzvonny) tintées grâce à un éventail de cordes à la main gauche, et les basses (en général 1 à 5 - blagovestnik) actionnées au pied grâce à des pédales. Dans les gros carillons plusieurs sonneurs peuvent être nécessaires.

Blagovestnik:

                    Si 3 (diam.758mm, 242kg), 1883, ancienne cloche de l'abbaye du Bec Hellouin (27) rachetée en 2011, nommée   "Joséphine". Paintandre frères fondeurs à Vitry. Marne

                    Mi 4 (diam.583mm) sans doute vers 1860, Gulliet Fondeur à Lyon, Croix sur une face, Vierge orante sur l'autre

                    Fa 4 (diam.530mm, env 80kg), cloche de la chapelle St Thomas d'Aquin du Havre (76), démolie en 2006, et offerte par l'association St Thomas. Cette cloche peut également sonner en volée en lancer franc.

Podzonny:

                    Sol 4 (diam.440mm, 44kg)

                    La 4 (diam.400mm, 33kg)

                    Si 4 (diam.350mm, 22kg) Ces 3 cloches sont les anciennes tinterelles de l'église d'Allouville Bellefosse (76) rachetées d'occasion. Roy à Ste Austreberte

                    2e Si 4 (diam 250mm, 5,2kg battant compris) Ancienne cloche de bateau pompier école. Sonorité très différente de l'autre Si 4 due à un profil également très différent

                    Sib 5 (diam 372), gravée "Pierre Poulain", ancienne cloche du pétrolier du même nom lancé en 1967

                    Do 5 (diam.357mm) 1884

                    Ré 5 (diam.287mm)

                    Mib 5 (diam.282mm)

                    Fa 5 (diam 257mm, 10kg battant compris) initiales CG (Christian-Gusset, fondeur)

Zazvonny:

1ère série, 2 cloches:

                    Lab 5 (diam.213mm)

                    Ré 6 (diam 205mm) ancienne cloche du bateau "Terral"

2e série, 3 cloches:

                    Sol 5 (diam 246mm) F. Biron.Paris

                    Si 5 (diam 325mm) K153

                    Ré 6 (diam.185mm)

3e série, 4 cloches: cloches Cornille Havard à couronne, toutes décorées sur une face d'une croix avec IC/XC et NI/KA, le texte est écrit en creux en rond en bas de la cloche

                    Do 6 (diam226mm), icône du Christ Pantocrator, angelot sur la couronne, "J'ai été nommé Sauveur en l'honneur de notre Seigneur Jésus Christ et 

                                   fondu en l'an 2012"

                    Fa# 6 (diam 175mm), icône de la Vierge à l'enfant, "J'ai été nommée Marie en l'honneur de la Sainte Mère de Dieu et fondue en l'an 2012"

                    La 6 (diam 155mm), icône de St Jean Baptiste, "J'ai été nommé Jean Baptiste en l'honneur du Saint prophète et Précurseur et fondu en l'an 2012"

                    Do 7 (diam 136mm), icône de St Nicolas, "J'ai été nommé Nicolas en l'honneur du Saint Evêque et Thaumaturge et fondu en l'an 2012"

Les notes des cloches sont plus ou moins approximatives

 

contact pour les 2 carillons : emmanuel-aubourg@orange.fr

20 septembre 2010

Le Creusot (Saône-et-Loire)

Eglise Saint-Henri
24 cloches
Inscrit à l'inventaire des Monument Historique en 1994

Ce carillon est unique en Saône-et-Loire.Les cloches ont été fondues par la Maison Crouzet-Hildebrandt à Paris. Il n'existe que deux modèles identiques, mais le second (1er arrondissement de Paris) est aujourd'hui électrifié. Le clavier est en buis, en forme de manches de brouette. Il y a 4 cloches de volée et 20 plus petites. Jamais été restauré, ce carillon est néanmoins joué régulièrement par un carillonneur local (fête de la Musique... ), longtemps seul mais qui enseigne maintenant à trois jeunes élèves.

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19 septembre 2010

Perpignan (Pyrénées-Orientales)

Cathédrale Saint-Jean-Baptiste
46 cloches
Instrument classé au titre des Monuments Historiques
carillon manuel + ritournelles automatiques

Expo_1878_couleur02Le 7 juin 1877, Amédée Bollée, fondeur au Mans, s’engage à fournir à la Fabrique de la cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Perpignan un carillon de 16 cloches. A ses frais, il complète cet ensemble de cloches d’un plus petit diamètre et d’un clavier breveté. Amédée Bollée compte présenter ce carillon à l’Exposition universelle qui se tiendra à Paris en 1878. Au Mans, durant l’hiver 1878, sous la directive d’Amédée Bollée, les ouvriers s’activent pour fondre les 46 cloches et fabriquer le clavier. Terminés à temps, le carillon et le beffroi quittent l’Avenue de Paris le 19 avril 1878 pour la capitale : "[…] jamais un carillon de 46 cloches n’aura été fait dans un si court espace de temps. Il est vrai que toutes les études en étaient faites." (Amédée Bollée, 30 janvier 1878). A Paris, du 1er mai au 31 octobre 1878, dans le parc du Champ-de-Mars, à la section Produits de l’exploitation des mines et de la métallurgie et au stand n°567, les visiteurs peuvent entendre le carillon tous les jours à 14 heures et à 16 heures dans le cadre de l’Exposition universelle. Lors de sa visite, le facteur d’orgues Aristide Cavaillé-Coll apprécie le travail d’Amédée Bollée et encourage la Fabrique de la cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Perpignan à acquérir la totalité des cloches. Quant à Pierre-Olivier Lebasteur, rapporteur des Produits de l’élaboration des métaux usuels, il souligne que "Les produits de [la Maison Ernest Bollée] se font remarquer par leur fini et leur netteté ; le moulage est fort bien soigné. Les cloches exposées étaient recouvertes de dessins en relief de bon goût et d’une parfaite exécution […]." Après l’Exposition universelle, le carillon est ramené au Mans pour être remonté provisoirement dans un clocher au fond du jardin familial des Bollée. En attendant, "[…] nous jouerons le carillon d’ici son départ qui sera le plus rapproché que je le pourrai." (Amédée Bollée, 16 décembre 1878) Le 8 mai 1879, le carillon est expédié à Perpignan par la voie du chemin de fer. Avant de prendre définitivement place avec le clavier coups de poings dans le clocher de l’église du Vieux-Saint-Jean aux alentours de 1885, les 46 cloches du carillon ont été bénites dans la nef de la cathédrale Saint-Jean-Baptiste par Monseigneur Emile Caraguel le dimanche 2 mai 1880 après les Vêpres. Jusqu’à l’électrification de l’instrument en 1956, tous les jours, le matin, à midi et le soir, les sacristains successifs s’installeront devant le clavier à bâtons pour carillonner la prière de l’angélus. Quant aux quatre sonneurs, ils feront retentir au pied la grande volée pour les sonneries cultuelles, festives ou commémoratives. En 1995-1996, le carillon, propriété de l’Etat, est restauré par l’entreprise France carillons d’Hérépian (Hérault). Eric Brottier, technicien-conseil pour le Ministère de la culture, est chargé de superviser ce chantier monument historique. Le 1er juillet 1996, cent onze ans après l’installation de cet ensemble campanaire de 46 cloches, Monseigneur André Fort nomme par ordonnance épiscopale les premiers carillonneurs. Depuis, chaque année, le carillon participe à la vie de l’ensemble cathédral et de la cité : Fêtes carillonnées, Grandes antiennes du temps de l’Avent, Cavalcade des Rois, Sant Jordi, Bénédiction du vin nouveau, Marché médiéval, Journées du patrimoine, Festival de musique sacrée, Festival musical régional, Festival international de carillon de Perpignan… Depuis le départ en retraite de Louis Ausseil, Elizabeth Graves Vitu et Laurent Pie, co-titulaires par ordonnance épiscopale de Monseigneur André Marceau, sont chargés de mettre en valeur cet instrument, tant sur le plan cultuel que culturel.

Clocher_jour  Clocher_nuit
Clocher_vue_a_rienne  Photo_Hannoteaux

30 août 2010

Miribel (Ain)

MiribelBeffroi du Mas Rillier
50 cloches - 7.800 kg
Instrument classé Monument Historique le 21 décembre 1992

carillon manuel

Etonnant site que ce Beffroi conçu par l'achitecte Mortamet avant la dernière guerre mais qui fut réalisé seulement en 1947. C'est un prêtre au charisme exceptionnel qui fut l'initiateur d'une Confrérie de Notre Dame du Sacré Coeur en 1932. Suivront une statue monumentale de la Vierge, haute de 38 mètres, inaugurée le 15 juillet 1941. L'abbé Thomas, car c'est de lui qu'il s'agit, fera l'acquisition du carillon de 45 cloches présenté par la fonderie Paccard à l'Exposition du Progrès Social à Lille. Ce carillon faillit partir chez le fabricant de chocolat Pupier, où le carillonneur Louis Chavand aurait donné des auditions lors des visites de cette usine ! En fait, l'Abbé Thomas fut l'acquéreur et demanda que 5 autres cloches soient ajoutées, portant ainsi le carillon à 50 cloches. La plus grosse recevra des inscriptions destinées à honorer le Maréchal Pétain, en mémoire des combattants des guerres de 1914/1918 et 1939/1940. Ces inscriptions furent effacées en 1945. Figurait également "Maréchal Pétain" et "je sonne pour le Sauveur de la France". Tessiture : Do 3 à Do 7 (transpositeur : le Do 3 est en fait un sol à la pédale). A la mort de l'abbé Thomas, le 9 septembre 1952, l'ensemble des lieux fut cédé au Diocèse qui en fit don à la commune de Miribel vers 1980. Les premiers carillonneurs furent Louis Chavand (1947-1952), Gaston Billet (1952-1954), André Combe (1953-1986), Jean-Bernard Lemoine (1986-2005). Depuis cette date, il n'y a malheureusement plus de titulaire de cet instrument. Une restauration fut faite en 1994 par le facteur André Voegelé de Strasbourg sous le contrôle du technicien conseil des Monuments Historiques, Eric Brottier. L'inauguration de ce remarquable instrument de musique eut lieu le 20 juillet 1947.
Discographie :

  • des 78 tours noirs, enregistrés par Thorens vers 1947, où l'on trouve les carillons de Lyon et de Calluire, hélas disparu. Ces galettes de cire, pièces uniques du patrimoine campanaire Français, sont exposées au musée du carillon de Taninges.
  • un disque Pathé 33 tours enregistré vers 1952 par Gaston Billet (réf.ST 1087)
  • un disque Pathé 45 tours (réf REM 108), vers 1975

miribel_panneau   Miribel_Bourdon_20MarechalPetain   Miribel_inauguration1947_MLannoyHPaccard   Miribel_vue_20partielle

Jacques Martin, né à Lyon, avait une mère catholique et assidue des pèlerinages à la vierge du Mas Rillier ! Ainsi, le petit Jacques Martin accompagnait sa maman le dimanche après-midi et le gamin, déjà curieux de tout, fut un visiteur enthousiaste du carillon joué à cette époque par Louis Chavand. Ayant appris en 1981 la "naissance "du carillon ambulant de Douai et de la région Nord-Pas de Calais, il l’invita dans son émission du dimanche "Incroyable mais vrai". Depuis 2005, le carillon est animé par Chantal Bégeot.

29 août 2010

Bourg-en-Bresse (Ain)

église Notre-Dame - 22 cloches
clavier de piano

Un carillon particulier : 17 cloches sont reliées au clavier (si à ré#), 22 le sont au cylindre de 14.580 trous où sont disposés des taquets. Le clavier est aussi le seul de type "piano" encore en fonctionnement dans la région avec celui de la Cathédrale Saint Pierre de Genève. Un autre identique en Ardèche, à Saint Romain d'Ay, est inutilisé car en piteux état. Les premières cloches du carillon de Bourg-en-Bresse datent de 1854 et une de 1824. Elles n'étaient pas reliées au carillon ; elles le furent quand l'édifice acheta des cloches supplémentaires en 1911. La plus ancienne est d'un fondeur inconnu en Rhône Alpes : Jérôme Bernard, quelques suivantes sont signées Gédéon Morel et le reste G. et F. Paccard. Les cloches anciennes ne sont pas un modèle de justesse et l'ensemble n'est pas d'une qualité sonore extraordinaire. On sait encore que le 23 décembre 1911, le carillon fut joué par J.H.Denteneer, carillonneur néerlandais et par Joseph Paccard, fondeur de cloches. Par la suite, on relève des concerts de Henri Lenormand (1911-1960), Maurice Calvet (1960-1980) et Pierre Guillot (dès 1981). Depuis une vingtaine d'années, il n'y a plus de carillonneur titulaire, mais le carillon est néanmoins joué à l'occasion de concerts ponctuels et lors des journées du patrimoine par des membres de l'Association des Amis de l'Orgue de la Cathédrale.

12 juillet 2010

Saint-Saturnin-lès-Apt (Vaucluse)

N_10_le_clavier_du_carillonneurEglise Saint-Etienne
11 cloches

Clavier manuel
Audition tous les dimanches à partir de 11H d'une durée de 30 à 40 minutes.

12 juillet 2010

Albi (Tarn)

Collégiale Saint-Salvi
8 cloches

La collégiale Saint Salvi semble vivre dans l’ombre de son imposante voisine, la Cathédrale Sainte Cécile d’Albi. Dédiée à Saint Salvi, évêque d’Albi du VIème siècle, elle fut édifiée au XIIème siècle, puis remaniée aux XVème et XVIIIème siècles. Le clocher de pierre, également du XIIème, contraste avec le reste de la ville toute de briques. Toutefois, cette tour a été surélevée en briques à la fin du XIVème siècle et la tourelle d’angle sommitale qui la couronne servait autrefois de tour de guet, on l’appelle d’ailleurs encore la « gachole », lieu où l’on guette. Ce clocher abrite un carillon diatonique de huit cloches en gamme de MI b installé en 1959 par la fonderie PACCARD d’Annecy. Toutes les cloches, installées au même niveau sur un beffroi de bois à trois travées, peuvent sonner à la volée. Les deux plus grosses, le MIb 3 et le FA 3 qui ont servi de base au carillon, datent de 1817 et ont été coulées par le fondeur DECHARME. Ici, point de clavier manuel, tout l’ensemble est électrifié et fonctionne à l’aide d’un programmateur installé à la sacristie. De nombreux cantiques sont programmés - dont les trois Angélus quotidiens - et les heures et quarts d’heure reproduisent le carillon de Westminster. Une neuvième cloche, plus ancienne, se trouve dans l’une des fenêtres du clocher, et une dixième est suspendue dans un petit clocheton au-dessus du chevet de l’église.

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